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Boucary Doumbiale, Directeur général du Commerce de la Consommation et de la Concurrence, face à la presse le vendredi 25 mars 2022
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BOUCARY DOUMBIA, DGCC : «Le Mali ne court aucun risque de rupture de denrées de première nécessité»

A quelques jours du ramadan, le Directeur général du Commerce de la Consommation et de la Concurrence (DGCC), M. Boukadary Doumbia, a animé une conférence de presse vendredi dernier (25 mars 2022). Et ce qu’on retient, c’est que les marchés sont bien approvisionnés pour craindre une rupture. Ce qui devait maintenir les prix à un niveau assez supportable pour les ménages.
Le marché de Djenne au Mali. Des aliments abordables et des marchés sûrs sont importants pour la sécurité alimentaire (Anthony Pappone)
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RAMADAN ET SANCTIONS DE LA CEDEAO CONTRE LE MALI : Les prix des denrées, premier défi du gouvernement de la transition

9 janvier 2022 – 21mars 2022, cela fait exactement 2 mois et 12jours que la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) et l’Union économique monétaire ouest-africaine (UEMOA) ont imposé des sanctions économiques et financières contre le Mali. Pour ne pas subir les affres des sanctions pendant ce mois béni les autorités Maliennes cherchent par tous les voies et moyens pour satisfaire la demande de plus en plus forte.  
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MAINTIEN DU PRIX DU SUCRE : Etat, grossistes et détaillants sur la même longueur d’onde

Malgré les sacrifices du gouvernement d'anticiper face aux impacts combinés des crises sanitaire, sécuritaire et sociopolitique, une tension apparait quant à la flambée des prix de certaines denrées de première nécessité dont le sucre. Sous l'égide du ministre de l'Industrie et du Commerce, les membres du  Conseil national des prix se sont réunis ce jeudi 27 janvier au département de tutelle. L'objectif était de faire baisser le prix du sucre.
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Les Maliens confrontés à la hausse des prix

Les prix s'envolent au Mali : celui du sucre, du béton et d'autres denrées quotidiennes. Reportage à Bamako. L'inflation préoccupe les Maliens au jour le jour. Le prix du sucre est officiellement plafonné à 500 FCFA et pourtant les prix s'envolent. 600, 700, voir 750 FCFA même parfois pour en acheter un kilo pour les consommateurs ! Diakaridia, père de famille, se désole des profiteurs: "Ceux qui s'adonnent à cette pratique doivent être punis conformément à la loi en vigueur. Avant d'ajouter que la stabilité du pays profite à tous les Maliens et qu'inversement quand le désordre s'installe, ce sont d'abord les chefs de famille qui seront les premières victimes."